L’été approche et bientôt nous aurons le plaisir de nous retrouver à Monta…
Après ces périodes chaotiques et compliquées, ces retrouvailles seront un vrai plaisir.
Voici les dernières informations.
Consultation auprès de notre avocate. 4 points étaient envisagés.
1. Diminution du loyer :
La société refuse toute négociation au-delà des offres déjà présentées. Elle persiste à soutenir qu’elle a été obligée de fermer le centre. Concernant les économies qu’elle aurait faites, on nous oppose le défaut de preuve. Ce qui est totalement faux puisqu’on a produit les activités 2019 par rapport à celles de 2020. Le souci est le montant de la demande.
Notre avocate s’interroge sur le fait que nous sommes en période de pandémie, et que nous réclamons au maximum 200 à 300€ de plus par rapport à ce qui nous a déjà été octroyé.
Pour rappel : 200€ et deux années sans augmentation. Nos économies se montent en moyenne (suivant les forfaits) à 140 € sur deux ans, soit au total un geste commercial de 340€ Et donc aller devant un tribunal pour demander un complément de 200€, et se battre pendant deux ans, a-t-il vraiment un sens ? Notre avocate préférerait explorer la voie de médiation, en y joignant d’autres points que l’on va examiner.
2. La zone TAMPON
(Parcelle CY) Il y a deux aspects :
- L’abandon d’un droit par la SOCNAT SA,
- Privation de l’usage de cette parcelle pour les usagers du centre.
Le premier sujet concerne les actionnaires. Il est assez étonnant qu’une société abandonne un droit de bail sur une partie importante du terrain sans contrepartie du bailleur et qu’elle accepte de surcroît une augmentation sensible de son loyer.
Si aucune explication valable ne peut être avancée cela constituerait à première vue au moins une faute de gestion. Or nous dénonçons depuis le renouvellement du bail actuel une collusion entre C Allaux, PDG de Vacanceselect à l’époque, et la municipalité de Vendays Montalivet.
Le mécanisme est simple : un renouvellement de bail est plafonné quant à son montant suite à un mécanisme d’indices. La mairie souhaitait une augmentation substantielle du loyer et Vacanceselect voulait récupérer cette zone pour la raccrocher à ACM en vue d’y implanter des lodges.
Au-delà de soit disantes erreurs de références cadastrales, la mairie a résilié le bail antérieur, pour lui permettre de déplafonner le loyer, a conclue avec la Socnat un nouveau bail, après avoir retiré la zone tampon, et ce nouveau bail n’a rien modifié d’une manière substantielle des conditions par rapport à l’ancien bail, notamment concernant les bungalows « hors la loi », alors que pendant 20 ans elle a accordé des permis.
En conclusion, ce sont les actionnaires minoritaires qui doivent contester en justice ce retrait du nouveau bail car le patrimoine de la Socnat s’en est trouvé appauvri. Tribunal ou médiation?
Le deuxième sujet concerne les usagers. Le bail de 2018 les a privé d’une zone qu’ils pouvaient utiliser auparavant pour s’y promener et y faire du sport. Ceci pourrait justifier une baisse du loyer, car ils sont privés d’une zone où l’on pouvait pratiquer le naturisme. Néanmoins leur contrat est lié à celui du bail avec la commune.
Une étude approfondie de ce dossier nécessite la prise en compte des PLU. Or sur le site de la commune se trouve une procédure de PLU incomplète – mais la parcelle CY est toujours en N. A suivre….
3. Zone Déchetterie :
le débat est clos puisque la Socnat l’a fermé et est entrain de remettre les lieux en état.
4. Expertise de gestion :
Elle est toujours recevable si 10 % des actionnaires la demande. Dans notre cas elle pourrait concerner tout d’abord l’abandon du droit de bail sur la parcelle CY sans contrepartie. Et on pourrait demander une expertise de gestion sur le défaut d’entretien du centre qui diminue en fait la valeur du fonds de commerce. L’occasion serait la fermeture des thermes, sans date pour leur reconstruction.
En conclusion, nous réfléchissons sur une médiation entre l’ANM (représentée par des adhérents ou des actionnaires minoritaires) et Vacanceselect sur les 3 points qui restent en débat. D’autant plus que les prestations à Pâques de cette année n’ont pas été remplies et celles de la saison risquent de ne l’être que partiellement.
L’AG de la Socnat :
Vous avez du recevoir deux séries de documents émanant de la SOCNAT en vue d’une consultation écrite.
L’ANM s’est élevée contre cette disposition du CA de la SOCNAT, car les dirigeants ont obtenu du Président du Tribunal de Commerce de Bordeaux, un report jusqu’au 31 juillet pour tenir cette AG.
Or, l’an passé, elle s’est tenue en juillet, en présentiel, alors que les conditions sanitaires étaient à peu près identiques, avec 40 personnes présentes à l’Hexagone (qui peut contenir jusqu’à 150 personnes).
Donc la jauge aurait été largement respectée, alors que la levée du confinement est progressive… et en juillet il n’y aurait eu aucun risque à la tenue d’une AG en présentiel, en respectant les mesures barrière (port du masque, une personne sur 3, et présence de gel hydro alcoolique à disposition, etc.)
Les dirigeants ont préféré la consultation écrite, qui prive les actionnaires minoritaires de tout débat démocratique, sans possibilité de donner de pouvoirs. Alors qu’également il existe des techniques modernes de tenue d’assemblée via Zoom, Skype et autres… ce qui auraut été déjà mieux qu’une simple consultation.
L’ANM a envoyé un courrier aux dirigeants de la SOCNAT pour protester contre cette décision qui a été prise au dernier CA, alors que le calendrier du déconfinement était sorti.
Les recommandations : on vote NON à toutes les résolutions, excepté OUI à la 6ème.
Ce bulletin doit être envoyé avec la photocopie RV de votre CNI à l’adresse indiquée : VACANCESELECT GROUP, Consultation écrite SOCNAT, Espace Don Quichotte, 547 Quai des Moulins, 34202 – SETE Cedex.
Et ce avant le 4 JUIN prochain.
Si vous n’avez pas votre n° d’actionnaire, pas de souci, il sera mis par la SOCNAT.
L’ANM posera des questions sur les points suivants :
- Nouvel emprunt du groupe de 50 millions €
- Des éclaircissements sur certains postes de comptes,
- Reconstruction des thermes,
- Investissements à réaliser au CHM, etc…
De toute façon nous analysons les comptes 2020 comme bons, même si l’on constate une légère baisse du bénéfice de 9,7% par rapport à 2019, pour CA de 12 millions (dont 10 millions pour le CHM), en recul de 1 million, mais seulement de 800.000 pour le CHM seul.
Mais le report à nouveau est encore à 11 millions…., le bénéfice à 2.340.000, ce qui fait une situation nette de près de 19 millions, pour un capital de 1.175.000
Apparemment la Socnat a dû contracter un emprunt de 300.000 € ? d’où une question écrite. Les dettes sur immobilisations ont également augmenté de 400.000 €, peut-être est-ce dû au Crédit-bail pour les mobiles homes, ce qui nous parait beaucoup, d’où une autre question qui sera posée.
Les intérêts des sommes prêtées aux autres sociétés du groupe suivant une Convention de trésorerie ont été de 412.500€, soit en progression de 21% Naturellement on peut s’interroger sur le bien fondé de cette Convention, néanmoins elle rapporte à la Socnat des intérêts substantiels. Ce qui devrait permettre des investissements importants au CHM, et qui peuvent être réalisés sans compromettre l’équilibre financier de la SOCNAT au vu du bénéfice réalisé.
Cette opinion est confortée par le calcul de la CAF. Elle est d’environ 3.400.000€
Une question écrite sera posée en ce sens, car il n’est prévu que 450.000€ d’investissements pour tous les sites de la Socnat, alors que les thermes devront être reconstruits et que la CAF est presque 8 fois supérieure à ces investissements prévus. Où ira le reste ?
Dernier point souvent débattu et contesté : le million de frais de siège versé par la Socnat au groupe basé à Sète. On peut s’interroger légitimement sur le bien fondé de cette somme. Que recouvre-t-elle? Comptabilité, réservations, communication, ressources humaines, etc… Une question portera sur la décomposition de ce poste par types de charges et leurs montants respectifs. Mais il faudra alors regarder ce que coûterait à la Socnat de tels services s’ils étaient traités en interne ?
Les dernières nouvelles :
1) Relations avec les salariés et la direction : c’est un point délicat des deux côtés. D’une part des salariés du CHM ont une attitude parfois désagréable vis-à-vis des propriétaires, notamment en débarquant chez eux sans prévenir et tenant parfois des propos déplacés. Mais inversement certains propriétaires ont une attitude qui peut également prêter à discussion, notamment au niveau de leurs réactions face à un problème qu’ils ont eux-mêmes créés.
Nous pensons que tout le monde doit garder la raison.
Le directeur a donné des consignes pour que les salariés prennent des RV avant de se déplacer sur une parcelle. Inversement les propriétaires doivent consulter le service SAT de Sophie BOUCHEZ pour toute demande quel qu’elle soit. Vous serez alors orientés selon votre demande soit vers une simple déclaration à la SOCNAT soit un dossier à remplir pour la mairie. Mais nous vous rappelons que tout travaux, quel qu’il soit, doit faire d’objet d’une demande.
L’ANM ne peut pas intervenir pour des causes indéfendables, notamment nous avons un PLU au niveau municipal et un Cahier des Prescriptions Techniques à l’intérieur du CHM. Notre crédibilité dépend des bons rapports que tout le monde doit avoir aussi bien avec la direction que les salariés du CHM.
2) Les haies de sapinettes et thuyas : le CHM est toujours en train d’arracher les haies sur les parties communes et chez les résidents qui en ont fait la demande. Bilan au 15 juin et nouveau calendrier. A suivre…
3) La réunion en visioconférence avec la mairie du jeudi 6 mai. A la demande de l’ANM, a été organisée une réunion avec la responsable de l’urbanisme Mme Kerckhove et Mme Oliveira qui s’occupe des autorisations de travaux. S’y était joint le directeur du CHM, O Tesdtard.
Le motif : depuis l’arrivée de Mme Oliveira à la mairie (également 3° adjointe), elle refuse les dossiers, et donc les conformités, présentés par le SAT du CHM (Mme Sophie Bouchez) au motif que le PLU autorise les HLL de 35 m², mais elle y inclue les abris de jardin de 5 m², ne retenant que la notion d’emprise au sol.
Or le PLU de Vendays-Montalivet est ainsi rédigé :
Sont autorisées sous conditions particulières : 2.1 – En secteur UKb, – les habitations légères de loisirs à condition que la surface des constructions à usage d’habitations légères de loisirs ne dépasse pas 35m² d’emprise au sol pour les constructions closes et couvertes et 20 m2 maximum pour les terrasses couvertes (non closes) et que le nombre maximum d’habitations légères de loisirs (HLL) se limite à 1267. – les annexes aux HLL à condition d’être accolés aux HLL
Dans cet extrait, l’annexe fait l’objet d’un alinéa distinct de l’alinéa relatif à la construction principale, donc pour nous l’abris de jardin est considéré « en plus ».
Sinon, le règlement aurait dû être rédigé ainsi : « – les HLL à condition que la surface des constructions à usage d’HLL ne dépasse pas 35 m² d’emprise au sol pour les constructions closes et couvertes, annexe accolée incluse. »
Au lieu de cela, le PLU, en distinguant la construction principale de son annexe, exclut l’annexe du calcul de la superficie dédiée à la seule habitation principale (les 35 m²).
Nous n’avons pas été entendus, mais notre interprétation sera soumise au maire et au Conseil,. Nous avons aussitôt écrit à M Bournel et à M Trijoulet. Et demandé l’avis d’un architecte conseil ainsi que de la Communauté de Communes.
En attente d’une réponse écrite.
4) Entretien et travaux :
- La grave et enrobés ont dû maintenant être livrés, après une commande tardive. Une grave chute en vélo d’un résident a précipité la commande autorisée par Sète, qui centralise et contrôle tout…
- Les thermes étant fermés, la direction recherche un lieu pour y mettre la salle de musculation.
- L’ONF a effectué une descente à droite de la Plage 2, en tapant dans la dune pour pouvoir la construire.
- Nous avons saisi le responsable du service « Trait de Côte », à Carcans, qui dépend de la Communauté de Communes à Soulac. En effet, nous souhaitons connaître les décisions prises quant au recul du trait de côte sur le CHM. En attente de retour.
5) Lancement de la saison 2021 (sous réserve des restrictions sanitaires) :
- Parc aquatique ( peut-être ouverture anticipée si la fuite est réparée) et piscine couverte : réouverture le 9 juin car il s’agit d’un ERP et elle est déclarée « couverte » (même si les côtés se relèvent….),
- Plage 1 ouverte et surveillée les WE entre 11 h et 18 h, (descentes faites)
- Terrasses des restaurants ouvertes dès le 19 mai,
- Sanitaires communs ouverts à ce jour : centre co, pétanque, ajoncs 17, bruyère 38, écureuils 11, piscine, la lande 65, pins 53 ? sables 15 et 39.
- Du 19 mai au 8 juin, est établi un programme assez fourni de séances de yoga, fitness, stretching, circuit training, etc.
- Une piste de danse en parquet a été construite devant le kiosque du Centre co, ainsi qu’un petit terrain de jeu de quilles devant le Spar, là où il y avait les chalets des clubs, déménagés vers le mini golf, réunis avec le Chalet Infos.
Les dates à retenir :
- Le mardi 13 juillet à 10 h, à Oboulaba : réunion info Montafreunde
- Le jeudi 22 juillet à 10 h, à Oboulaba : réunion info ANM
- Le mardi 3 août à 17 h, à Oboulaba : AG Montafreunde
- Le vendredi 13 août à 10 h à Oboulaba : AG ANM
- Les 12 et 13 juin : 1er tournoi de tennis ANM
- Le mardi 20 juillet et le jeudi 2 septembre : sorties vélo ANM
- Les 11 et 12 septembre : 2nd tournoi de tennis ANM
- Trophées ANM de pétanque : deux dans la saison.
Pour toutes ces manifestations, voir panneaux d’affichage.
Permanences au Chalet des clubs : tous les mardis de 11 h à 13 h, à compter du Mardi 15 juin.
Pensez à renouveler à l’avance votre adhésion. Merci.
Soit en passant par HelloAsso via ce lien
Soit par chèque à envoyer à notre Trésorière, adresse sur l’entête.
Notre équipe est mobilisée pour la défense de nos intérêts et veiller au respect des valeurs naturistes.
Dans l’attente de se retrouver, recevez nos amitiés naturistes.